Replays

L’intelligence émotionnelle au service du travail en équipe

Publié le 20 septembre 2021
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Dans la sphère professionnelle, nous réfléchissons beaucoup en termes de compétences techniques lors de recrutement, pour nommer des personnes à des postes. Mais ce n’est souvent pas suffisant pour collaborer à plusieurs et avoir une bonne dynamique collective. En effet, les différentes perceptions et réactions des membres de l’équipe peuvent créer des tensions.

Prendre en compte le quotient émotionnel de chacun est pourtant un formidable moyen de :

  • optimiser ses relations au travail
  • renforcer la cohésion d’équipe avec des individus partageant les valeurs de l’entreprise
  • améliorer la relation client / prestataire

Intelligence émotionnelle : de quoi parle-t-on ?

Ce sont toutes nos aptitudes émotionnelles et sociales individuelles qui influencent notre manière de :

  • nous percevoir nous-même
  • nous exprimer
  • interagir avec les autres
  • appréhender et de gérer les obstacles et les difficultés
  • prendre des décisions

Pour travailler sur la question de l’intelligence émotionnelle, il faut d’abord comprendre comment on fonctionne, reconnaître nos émotions et les analyser pour pouvoir les canaliser. Pour apprendre à mieux se connaître et identifier son profil relationnel, Work Well Together propose un QCM en ligne (18 questions).

La connaissance de chacun permet également au manager d’identifier et de cultiver les forces de chaque membre de son équipe pour gagner en efficacité.

La prise en charge des émotions au service du stress

« Pas d’états d’âme voyons. L’important, c’est que ça avance ! Arrêtons de nous plaindre !!! »

Ces phrases, vous les avez très certainement déjà entendues au cours de vos expériences professionnelles. Il est très souvent commun que l’univers de l’entreprise invite à la neutralisation des émotions.

Or, aucune situation professionnelle ne peut être complètement débarrassée de charges émotionnelles. Une peur intense provoquera aisément stress et incertitudes. Une colère profonde pourra provoquer de fortes réactions source souffrance, comme souvent en témoigne le manque de reconnaissance.

Notre pratique émotionnelle nous incite bien souvent dès qu’une tension apparaît, à la minimiser, voire à la taire, dans l’attente qu’elle disparaisse d’elle-même. Chacun s’est construit son propre réservoir émotionnel qui peut se remplir et parfois déborder … C’est là que stress et souffrance prennent le pouvoir.
 
Prendre en compte la dimension émotionnelle, c’est réussir à mettre des mots sur des inconforts voire des souffrances potentielles ou du stress avéré. C’est considérer aussi qu’il n’y a pas de fatalité et que les situations où son travail est vécu dans l’inconfort ou comme une souffrance, ce n’est pas une fatalité !

Quelques chiffres :

Un salarié qui se déclare heureux au travail est :

  • 2x moins malade
  • 6x moins absent
  • 9x plus loyal
  • 55% plus créatif
  • 31% plus productif

Voir le replay du webséminaire

Co-animé par Sophie Nonnenmacher, consultante & formatrice sur les thématiques de la diversité et de l’inclusion et Florent Guitard de la MONA.

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